le 19 mars 2020 – Plusieurs questions ont été soulevées concernant les recommandations du Conseil sur la formation pratique.
Le premier point que je voudrais faire valoir est qu’il s’agit de recommandations fortes du Conseil. Cependant les écoles ont le choix d’utiliser leur discrétion dans la mise en œuvre de ces recommandations. Si une école exige que 100% des heures de stage soient effectuées sur place, cela s’inscrit bien dans son cadre décisionnel, dans le cadre des politiques générales de l’université.
En ce qui concerne le deuxième point, si un étudiant a effectué 60 à 74 % des heures de stage de la formation pratique, la recommandation est que tous les étudiants soient tenus de respecter le seuil de 75 % des heures.
Dans les cas où les heures de stage d’un étudiant tombent en dessous du seuil de 60 % et que son stage est en pause, il est recommandé, une fois que son stage reprend, qu’il soit lui aussi tenu de respecter le seuil de 75 % d’heures de stage. Les écoles peuvent user de leur pouvoir discrétionnaire dans les cas où les étudiants se situent en dessous du seuil de 60 % et où l’école a pris des dispositions pour un plan d’apprentissage alternatif qui répond aux exigences de la norme d’agrément.
Nous avons également été interrogés sur les stages de printemps et d’été. Le Conseil d’administration prend ses décisions sur la base des informations disponibles. Bien que les recommandations puissent changer en fonction des nouvelles informations reçues, ces lignes directrices sont en vigueur jusqu’à nouvel ordre. CASWE-ACFTS réévaluera la situation au fur et à mesure qu’elle se développera et restera en communication avec ses membres.
Au plaisir,
Stéphane Grenier, PhD, ts
Président, CASWE-ACFTS